Témoignages

  • Relecture des cours du jour
  • Exercices vus et corrigés en cours à refaire à la maison
  • Préparation des Devoirs Surveillés du samedi avec des Annales des concours précédents

  • En résumé, tout un tas de pratiques que je n’avais pas spécialement auparavant dans ma
    scolarité.
    J’ai eu la chance de tomber sur des professeurs qui étaient ouverts à mes interrogations que ce
    soit sur des sujets concernant leurs matières ou des sujets d’orientation (très important).
    J’ai finalement obtenu plusieurs écoles mais j’ai décidé de poursuivre mon cursus dans une
    école d’Ingénieur en Télécoms, Électronique et Informatique.
    Après la Prépa, l’École n’était qu’une “formalité” puisque j’ai pu acquérir tellement de savoirs
    et de méthodes que je trouvais ça beaucoup plus simple.
     
    Aujourd’hui je travaille dans le secteur de l’Informatique où je me plais beaucoup.
    Ne négligez pas cette voie qui est en constante croissance et ce dans tous les domaines :
    Mathématiques, Physique, Chimie, Langues, Histoire-Géographie, … 
    Il y a différentes possibilités de débouchés en fonction de vos forces et ce même pour ceux
    qui ne sont pas les Isaac NEWTON de leur promotion, l’important est l’amélioration continue
    et l’organisation à adopter en fonction de la charge de travail que vous aurez.
    Bon courage,

J’ai été diplômé Ingénieur Arts et Métiers ParisTech (ENSAM) avec spécialisation en

Management des Innovations Technologiques.

J’ai complété ma formation d’ingénieur par une certification en gestion d’actifs financier de

l’université de Wharton.

Intégration ENSAM en 2011, respectivement Wharton en 2018

Les classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) de Bellevue sont l’un des grands lieux

où j’ai puisé des valeurs et des connaissances à vie en plus des liens forts avec le corps

éducatif, les élèves et la Martinique. L’aventure CPGE en Martinique est propice à

l’émergence de talents antillais. Les élèves bénéficient de la proximité avec les proches, ce

qui n’est pas négligeable pour l’intégrité de nos jeunes. Le corps professoral est très

compétent et minutieux. Les professeurs savent adapter leurs transmissions de savoir en

fonction du niveau et des ambitions des élèves, au cas par cas. Malgré l’apprentissage

intensif de ce parcours, j’en suis sorti grandi intellectuellement et humainement. La

solidarité inhérente à ces CPGE s’est cristallisée en l’association ACPA (Association des

Classes Préparatoires Antillaises), dont j’ai été le fondateur et président pendant plus d’une

décennie, forgeant les liens intergénérationnels. Le support des anciens et leurs conseils

sont un gage de transmission solide que cette prépa a à apporter, ce qui est un facteur

supplémentaire de réussite des élèves de CPGE à Bellevue/ aux Antilles.

Mon choix d’être en CPGE à Bellevue s’est principalement basé sur ma volonté de

prolonger ma présence sur l’ile de la Martinique, le plus longtemps que possible, ayant en

perspective le départ vers le continent Européen. Ce choix d’époque découlait aussi d’une

motivation de renforcer la prépa de Bellevue et de prouver que nous pouvons exceller chez

nous pour ensuite rayonner en tant que talents martiniquais en local et à l’international. Les

mécanismes rigoureux d’apprentissage, l’humilité mais aussi le maintien d’une bonne santé

physique et mentale sont tout autant d’éléments que j’ai pratiqué sur le sol martiniquais en

CPGE à Bellevue.

A l’issue de mes CPGE à Bellevue en Martinique, j’ai obtenu l’admissibilité à l’ENS Cachan et

aux Arts et Métiers ParisTech. En préparations des concours, j’ai bénéficié d’une attention

ajustée de poids de la part de mes professeurs et le soutien de mes proches et camarades

de prépa. Ayant conclu de suivre une voie aérospatiale, j’ai finalement étudié et été diplômé

aux Arts et Métiers ParisTech.

J’ai commencé ma carrière dans les systèmes de propulsion aéronautique et spatiale, en

design, industrialisation et gestion de projets. J’ai ensuite élargi mon spectre de

connaissance en devenant consultant en financement européen de l’innovation sur des

sujets technologiques de recherche et de développement en lien avec l’énergie,

l’automobile, les sciences des matériaux, la santé et l’environnement.

J’ai ensuite mis mes compétences et connaissances à contribution de la gestion des risques

financier. Cette évolution vers le monde financier a été consolidée par l’obtention d’une

certification en gestion d’actifs à l’université de Wharton.

Aujourd’hui je suis en charge de la supervision de fonds d’investissements à l’international.

Mon activité se concentre principalement sur la valorisation d’actifs financier et les modèles

opérationnels des gestionnaires d’actifs alternatifs en capital risque, immobilier,

infrastructure ou autre.

Profitez au maximum de l’attention rapprochée et de la disponibilité des professeurs. En

dehors des cours, prenez le temps pour vous, activités physiques régulières et repos de

qualité sont primordiaux. L’atmosphère des Antilles ainsi que la proximité avec la famille

favorisent le bien-être et établissent un bon terrain pour l’apprentissage intense des CPGE.

Surtout croyez en vous ! Dans ma génération, nous notions souvent un dicton selon lequel,

« ce ne sont pas mes capacités qui font mes ambitions, mais mes ambitions qui font mes

capacités ». Soyez persévérants et résilients en plus d’être ambitieux et disciplinés.

Dans le paysage éducatif français, souvent marqué par une certaine indécision, la classe
préparatoire scientifique se distingue comme un choix d’excellence pour ceux qui oscillent
entre passion pour les sciences et affinités littéraires. Cette dualité m’a personnellement
guidée vers la prépa MPSI / MP, un choix qui a défini mon parcours.
La prépa, reconnue pour son exigence, ne se limite pas à la préparation d’un métier en
particulier. Elle inculque surtout une méthode d’apprentissage efficace, une compétence
essentielle dans le monde professionnel. Cette polyvalence s’est avérée cruciale dans mon
parcours : après ma formation à l’École des Ingénieurs de la Ville de Paris, j’ai choisi de
débuter ma carrière dans les finances publiques, un domaine éloigné de mes études initiales.
Pourtant, seulement un an après mes débuts, j’ai été promue responsable du budget de la
masse salariale, une responsabilité couvrant plus d’un milliard d’euros.
L’école d’ingénieur offre également des opportunités uniques, comme celle de vivre des
expériences internationales enrichissantes. Mon double diplôme en Australie en est un parfait
exemple, une aventure personnelle et académique financée grâce au soutien des banques,
prêtes à investir dans le potentiel des étudiants ingénieurs.
En Martinique, la prépa représente bien plus qu’un simple parcours académique. Elle est une
porte d’entrée vers un réseau solide, tissé avec d’autres élèves de l’île, des liens qui deviennent
des atouts professionnels précieux. Depuis mon retour en Martinique il y a cinq ans, je dirige
une entreprise de travaux, forte d’une vingtaine de salariés. Ces rencontres avec d’anciens
camarades de classe préparatoire enrichissent mon réseau professionnel et personnel.
Les diplômées de prépa sont souvent vues comme des individus prêtes à relever de nombreux
défis, ouvrant ainsi un large spectre de possibilités. Je vous invite donc à embrasser
pleinement l’opportunité que représente la prépa en Martinique. C’est un tremplin pour une
carrière réussie et un moyen de contribuer significativement au développement de notre île.

J’ai décidé de faire une prépa MPSI, car je ne savais pas vraiment vers quels métiers
m’orienter et la prépa scientifique était présentée comme une porte d’entrée pour tout type de
métier. Mais même sans idée d’avenir clair, j’ai pu jouir de l’expérience de la prépa. En effet,
j’ai beaucoup appris certes sur les maths et la physique, mais aussi sur moi-même et les
méthodes de travail et d’organisation qui me conviennent ou encore celles que je déteste.
Après mon année de MP, je pensais pouvoir encore apprendre et m’améliorer, j’ai donc décidé
de faire une troisième année. J’avais un peu peur de faire une 5/2 et d’être “en retard”, de
“perdre un an” ou encore de remettre en question les écoles déjà obtenues. Mais, le fait d’être
dans un environnement familier a contribué à réduire mes inquiétudes et finalement ma 5/2
n’a été que bénéfique. J’ai terminé ma troisième année de prépa avec une meilleure
compréhension de mes cours et surtout une plus grande confiance en mes capacités.
D’ailleurs, je profite encore des effets de ma prépa en école d’ingénieur. 
À l’issue de mes concours, j’ai intégré le parcours Génie Mathématiques de CY-Tech (ex
EISTI) au sein duquel je m’oriente maintenant vers l’analyse de données et l’intelligence
artificielle. Aujourd’hui, en deuxième année d’école d’ingénieur, je remarque que de nombreux
cours me sont plus faciles grâce à mes années de prépa et aux méthodes que j’ai pu
développer. J’ai aussi pu remarquer un meilleur niveau en anglais après ma prépa. Cela m’a
notamment permis, grâce à un accord de mon école, d’étudier pendant un semestre au
Danemark, une expérience que j’ai beaucoup appréciée.

Bonjour, à tous et toutes, je suis Ingrid, une ancienne élève de prépa à Bellevue. J’étais en
PCSI en 2016, et n’ai fait que la première année, car je ne savais pas trop quoi faire de ma vie
à ce moment. Suite à cela, j’ai suivi deux autres cursus dont un qui m’a amené à l’université
des Antilles. J’ai ainsi pu obtenir une licence physique-chimie pour ensuite être admise au
Mines d’Alès (école d’ingénieur généraliste) . 
Je suis diplômée depuis peu et travaille maintenant en tant qu’ingénieure sûreté nucléaire dans
un grand groupe. 

Mon message pour les jeunes, et plus particulièrement pour les jeunes femmes passionnées et
motivées par les sciences est le suivant : ” Il ne faut pas hésiter à suivre sa passion, même en
cas de doutes et de difficultés, car à la fin, la satisfaction est là. Il est aussi important de savoir
oser, car comme on dit : Qui ne tente rien n’a rien ;)”.