Classe CHAM

RENTRÉE 2009-2010 : Naissance de la 6ème CHAM

 

Le Collège voit la création d’une 6ème CHAM (Classe à Horaires Aménagés Musique), la première dans l’Académie de la Martinique. Elle est constituée de 20 élèves motivés par la musique, issus des écoles de Dillon C et D, de Châteaubœuf, Renéville et Morne Calebasse.

 

Ces élèves ont été recrutés après un appel à candidature et à l’issue d’une Commission de recrutement qui s’est tenu le 28/05/2009.

QU’EST-CE QU’UNE CHAM ?

C’est une classe dans laquelle l’emploi du temps est aménagé afin de permettre aux élèves de suivre un enseignement scolaire normal et un enseignement musical.

 

    L’enseignement musical en CHAM

                    2 heures d’éducation musicale

                   ½ heure de pratique musicale collective

                   1 heure d’informatique musicale

                   ½ heure de pratique instrumentale individuelle

                   1 heure de formation musicale (solfège…)

         Ce cursus musical est intégré dans l’emploi du temps de l’élève.

 

                   UNE CHAM au Collège  Dillon 1, POURQUOI ?


Une expérience de classe « Option Musique » a vu le jour dans notre établissement en 2004. Un premier recrutement s’est effectué en classe de 4ème et l’option a été reconduite en 3ème.

En 2007, un second recrutement s’est effectué dès la classe de 5ème, a été reconduit en classe de 4ème, puis  en 3ème avec un projet musical spécifique intitulé « Découverte et Pratique du Steel-Pan ».

  Ces expériences ont créé un réel engouement chez nos élèves qui bénéficiaient d’un enseignement d’Education Musicale de deux heures, d’une heure de pratique vocale collective et d’une heure trente de pratique instrumentale collective (Orchestre de Steel-Pan). Un Steel Band a été ainsi créé au sein du Collège et un stage pratique a été organisé en Mai 2008 à Trinidad.

L’implication manifeste de nombreux élèves a permis de déceler chez certains de vraies aptitudes musicales. Une nouvelle structure leur offrant une formation musicale collective mais aussi individuelle plus approfondie était donc nécessaire.

L’existence d’une CHAM apparaissait  comme une suite logique à ces différentes expériences.